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Née à Paris en 1956, j'ai toujours évolué autour du milieu artistique, pour le plaisir ou dans un cadre professionnel. Je suis titulaire d’une Maitrise d’Arts Plastiques de l'Université Paul Valéry Montpellier  « Pour l’Humour de l’art : Chaire de poule ».

 

De novembre 1999 à juin 2002, j'ai eu le plaisir de pouvoir pratiquer la sculpture à l'Artoretum, pépinière d'artistes à Montpellier.

 

De 2002 à 2005 j'occupe un atelier personnel de sculpture en plein cœur de Montpellier. Puis je m’installe à Lodève.

 

Membre fondateur du Collectif de Photographe MikrOMégA, créé en décembre 2004, je participe en noir et blanc et en couleur aux actions du Groupe aux cotés de Joël Picard, Mireille Pélindé Rian, La Lole et Luc Micola. Puis je reprends mon cheminement après la rupture du collectif.

 

Qualités ? L'optimisme, la curiosité, l’éclectisme et un certain sens de l'humour.

 

Défauts ? La curiosité, l’éclectisme, l'optimisme et un certain sens de l'humour, entre autres...

 

 

Les techniques

 

La photographie :  En noir et blanc et en couleur, en argentique et en numérique. Tout est sujet de curiosité, surtout l’humain dans tous ses états.

 

Les sculptures :     Marbre, calcaire, grès... en taille directe

Cuivre, matériaux de récupération... soudure, montage, collages...

                  Modelage argile

 

 

Les supports d'écriture (carte et carnets) : collage, origamis, soudure, couture, aquarelle, détournement des matières premières, sur support papier aquarelle 308 g.

 

 

Les influences

 

L'art pariétal, le surréalisme, les arts primitifs de tous les continents, Brancusi, Henry Moore, Pierre Dac, Rodin, Flanagan, les surréalistes, Jérôme Bosch, Michel-Ange, Dali, André Kertesz, le surréalisme, Sieff, Man Ray, Elliott Erwitt, David Hockney, René Magritte, William Klein, Mapplethorpe... S'il faut m'apposer une étiquette disons alors que mon travail est d'inspiration primitif métissé de surréalisme.

 

La démarche

 

Utiliser la lumière comme une matière pour sculpter sur la surface sensible des volumes, encore et toujours des volumes. Regarder la réalité du monde et y trouver le contraste de situations, les détails, "aberrations" tout ce qui s'écarte de la norme.

 

Détourner ce qui est. Jouer avec les matières et libérer les formes cachées dans la pierre. Faire danser ce qui est statique, figer les mobiles. Et surtout, surtout, ne pas se priver de l'humour...

 

 

Acquérir les savoir-faire pour n'avoir plus qu'une seule limitation : l'imagination.

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